À force de jouer les girouettes, le jour où l’on brûle avec son propre pignon se présente toujours comme un ironique rappel que c’est bien le vent qui alimente les flammes.
À force de jouer les girouettes, le jour où l’on brûle avec son propre pignon se présente toujours comme un ironique rappel que c’est bien le vent qui alimente les flammes.